Nous allons être lessivés
Trois visions cette nuit, qui apportent des détails sur la nature des événements évoqués - entre autres - dans les articles Les événements qui arrivent et L'autoroute du kiff.
1 - des tempêtes au propre comme au figuré
Je vois des trombes d'eau. Plusieurs vagues déferlent sur nous, et nous sommes obligés de nous réfugier sur les hauteurs aux alentours de chez nous. Certaines de ces vagues pourraient être des tsunamis.
Je crois que le détail est important et à prendre au premier degré aussi, parce qu'il vient renforcer le message de rêves plus anciens. Il vaut mieux rechercher les hauteurs et s'éloigner des côtes. Le rêve a naturellement une forte composante symbolique. La suite ne laisse aucun doute là-dessus. Ces vagues sont en fait des vagues énergétiques, des vagues de lumière. Mais leurs effets seront aussi tangibles aux niveaux social, politique, économique... Et climatique.
Un nettoyage très secouant
Nous sommes submergés par ces vagues, puis nous sommes pris dans un vortex d'eau tourbillonnant. Je ressens que nous allons nous noyer. D'autres et moi sommes pris dans un mélange d'eau et de vents cycloniques, comme dans un lave-linge, qui passe soudain au programme d'essorage.
Dans ce tourbillon, je vois une femme enceinte. Tout de suite, je comprends qu'elle porte en elle l'avenir de l'humanité. Notre avenir... Je me rends compte que le chacun pour soi ne tient plus du tout. Si nous ne nous tenons pas fermement les uns les autres, nous serons emportés comme des fêtus de paille, comme des feuilles mortes. Nous disparaîtrons de la surface de la Terre. Nous devons nous rassembler et ne plus nous lâcher. Il n'y a plus de tergiversation ni d'hésitation qui tienne. J'agrippe fermement la femme enceinte. Elle s'agrippe à moi aussi de toutes ses forces. Le féminin et le masculin se rejoignent pour faire équipage dans cette tempête.
La force centrifuge de ce tourbillon d'eau et d'air est implacable et nous terrifie. Nous réalisons notre petitesse face à la puissance de la nature. Notre dernière heure est peut-être arrivée. Nous sommes agrippés l'un à l'autre et nous prions, sans plus aucun sentiment embarrassé.
Dans le même temps, je ressens une impression étrange : ce tourbillon nous purifie, nous expurge de tout sentiment égoïste. Nous sommes littéralement lavés et essorés de tous ces sentiments négatifs et de séparation d'avec les autres, et d'avec le divin en nous. Me vient cette certitude : c'en est fini de jouer. Si je m'accroche à mes doutes et à mes pensées négatives, je partirai avec l'eau de l'essorage.
Le temps n'est plus aux récriminations de toutes sortes. Le temps est au rassemblement et l'union des forces de chacune d'entre nous. Nous ne pourrons rester que si nous nous unissons. Les individualistes partiront avec l'eau du bain.
Se dessine aussi une évidence... Le point de repos se situe dans l'œil du cyclone. Dans la centrifugeuse, ça secoue sur les bords, mais au centre, cela reste immobile. Pour traverser ces tempêtes et ces vagues, ils nous faudra rester au centre. Bien centrés. Dans notre corps. Dans l'ici et maintenant.
2 - Des jardins de lumière
Cette deuxième vision me rappelle les messages sur notre souveraineté alimentaire. Elle me projette dans le monde d'après. Nous sommes dans cette période intermédiaire, après l'effondrement mondial.
Je suis en compagnie d'autres personnes dans un jardin très foisonnant. Nous sommes assis à une longue table, qui rassemble une communauté. Je vois une de mes anciennes directrices. Ma préférée, je dirais. Lorsque j'avais quitté la société, elle m'avait offert quelques livres dont celui de Pierre Rabhi, sur la sobriété heureuse. La référence est de nouveau évidente. Il est bien question d'assurer nous-mêmes notre souveraineté alimentaire.
Et de fait, dans ma vision, je mange un citron. Sitôt que je découvre des graines dans ce citron, je me lève et je dis à ma directrice et à mes compagnons de table que je vais replanter les semences dans le jardin. Il semble que le nouveau climat s'y prête particulièrement bien. Je repense alors à ce message dans lequel Micheline Decker m'avait dit que nous nous retrouverions à une latitude et une longitude située entre l'île de Madagascar et l'Océanie.
Je plante ces graines et je vois, en me promenant dans ce grand jardin, de nombreux citronniers qui poussent déjà. L'atmosphère est pure, légère et très lumineuse. Un sentiment de bonheur intense m'envahit.
3 - Un Noël très particulier
Ça y est ! Encore cette référence à une Saint-Nicolas ou à un Noël dans mes messages ! Au risque de me tromper dans mes interprétations, je crois que décembre 2025 sera la bonne. Incorrigible Michel !
Dans cette vision, je vois une publicité un peu particulière. On pourrait dire qu'elle passe à la télévision, mais ce n'est pas tout-à-fait ça. En fait, la publicité passe... dans notre esprit. Il n'y a plus de télévision.
Il semble qu'il n'y ait plus que quelques rares entreprises dans le monde. La publicité parle d'une société qui fabrique des poupées pour les filles. C'est la seule qui ait subsisté, semble-t-il. Parce qu'elle fabrique des jouets qui favorisent les interactions directes entre les enfants. La publicité parle du fait que désormais, les enfants ne joueront plus seuls sur leur téléphone portable, mais qu'ils rejoueront ensemble, à la poupée, comme au bon vieux temps !
Et la publicité se termine sur ces paroles intrigantes, qui me rappellent un autre message :
"En cette fin d'année, qu'allez-vous partager avec les autres enfants ?"
Et si on passait au concret ?
Ces visions m'en rappellent une autre, que je n'ai pas partagée. Je m'y voyais en train de semer et de replanter plein d'a.r.m.o.i.s.e a.n.n.u.e.l.l.e. Je sentais dans cette vision qu'il en faudrait beaucoup durant cette année 2025, car les demandes allaient exploser.
Si vous cela vous intéresse d'obtenir des graines, je vous en reparle dans un prochain article, dédié au sujet. L'idée est non pas d'en tirer profit, mais bien de créer un réseau d'entraide et de partage.