Difficile de suivre avec les visions et les messages, cette nuit.

Un après Trump ?

Donald Trump vient juste d'arriver, et je vois déjà un après... J'espère que ce n'est pas pour tout de suite. Moi aussi, j'attends des divulgations sur les manipulations concernant la précédente plandémie et la corruption des dirigeants. Mais contrairement à celles et ceux qui veulent croire en un sauveur extérieur, je suis beaucoup plus circoncspect : Ce n'est pas l'Amérique et U.S.A. et Japon.

Dans ma vision, Donald Trump n'est plus là. Il a été remplacé. À sa place, voilà que débarque... Un latino-américain ! Je ne peux en préciser la nationalité, mais il semble être un immigré. Ironie du sort ! 

Je vois les têtes de certains américains se figer de rage et d'humiliation. Ils assistent comme impuissants à cet événement. Ils se sentent trahis. Je vois leur tension artérielle faire littéralement bouillir leur visage. Ils sont tout rouges. Et pourtant, ils sont figés, la bouche serrée, comme s'ils n'avaient rien à dire.

Ce latino-américain me penser, de loin, à Éric Estrada, l'acteur qui jouait le rôle de John Ponchorello dans "Chips", quand j'étais jeune. Il a un visage plus typé latino : un peu plus massif et carré. Il a tout de même des rondeurs dans le visage. Ce n'est pas un maigrichon. Il respire la solidité.

Son sourire n'est pas aussi solaire que l'acteur. C'est un sourire serré, intérieur. Il porte des cicatrices sur le visage qui me font penser à des séquelles d'acné. C'est très curieux car, de mon souvenir, à un moment, il semblait porter des vêtements de prisonnier orange...

Je le vois s'avancer, entouré du service de sécurité. Il est profondément intériorisé. Profondément recueilli. Je sens chez lui une volonté entière de faire ce qui est juste pour tout le monde. Il est animé par une profonde empathie pour ses semblables, et cette empathie est nourrie par son expérience personnelle, éloignée de tous les a priori. C'est un homme bon et solide. On peut compter sur lui. Il est fiable.

Cet homme a semble-t-il été choisi, promu par les extraterrestres. En tous cas par un collège d'êtres sages, qui savent ce qui est bon pour un peuple. C'est comme si la pseudo démocratie n'avait plus cours. Les gens sont en quelque sorte amenés à comprendre que tous ne sont pas compétents pour savoir ce qui convient vraiment à la communauté. Voilà une approche qui va nous "challenger", c'est sûr ! Quand on dit que certains ne voudront pas lâcher l'ancien monde...

À ce moment, un voix off vient confirmer ce que je ressens :

"Les leaders qui arrivent ne seront pas choisis selon les critères qui ont eu cours jusqu'à aujourd'hui.

Les apparences, le passé, et tous vos critères comme le charisme n'auront plus aucune importance.

Ce qui compte désormais, c'est [...*] la capacité à agir de façon consciente et conséquente pour le bien de tous".

[...*] J'ai perdu des infos. Il y avait d'autres qualités.

On insiste bien sur les aspects de conscience et de capacité à agir de façon conséquente. Il nous faudra des personnes fiables. Ces nouveaux leaders n'agiront jamais de façon irrationnelle, sur base d'un égo instable. Dans tes dents, Michel !

Cela me rappelle une vision plus ancienne, où je voyais Donald Trump. J'y découvrais une personnalité complexe, aux prises avec de multiples influences extérieures...

Bref. Entre deux sommeils, je me demande alors si on va tout de même avoir des révélations et des divulgations grâce à Donald Trump. La vision suivante me présente une scène encore plus abracadabrantesque, qui pourrait être contemporaine de la présidence de Donald Trump.

Barack Obama en mode full disclosure

Je vois alors un plateau télé. C'est un show d'Oprah Winfrey.

Barack Obama est parmi les invités, en compagnie d'autres personnes. À ma grande surprise, l'atmosphère sur le plateau est légère. Assez badine, pour tout dire.

Oprah Winfrey s'avance alors vers Barack, et s'adresse à lui comme le ferait un Procureur. Toujours sur un ton assez léger, elle lui fait répéter le serment que l'on fait répéter à tous les témoins et accusés lors d'un procès. Et Barack Obama de prêter serment :

"Je jure de dire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité."

Il semble vouloir coopérer pleinement pour que la vérité éclate. Il a bien saisi que c'est dans son intérêt. Il agit comme qui quelqu'un qui se repent sincèrement. Il a l'air soulagé de confesser ce qu'il a fait auparavant, car il a dû agir contre sa volonté profonde.

À mon réveil, je suis encore plus perplexe. Qui sait ce qui se trame réellement en coulisses pour le moment ?

Il y a un troisième message, et je l'ai oublié. S'il me revient en mémoire, je l'ajouterai.